Tilden Toots - Terminée

La vie de Tilden est comme celle de beaucoup de jeune sorcier, elle ne manque pas de classique. Sa mère est une moldue, son père est un sorcier. Pas d’histoire dramatique, pas de mort, pas d’horreur, sa mère a accepté sans l’ombre d’un doute la nature de son mari quand elle l’a découvert et a accepté avec grand plaisir que son fils unique soit également un sorcier.

Tilden a grandi entouré de l’amour de ses parents. Le seul point noir qu’on pourrait préciser dans cette histoire, c’était le fait que ses parents auraient bien aimé avoir un deuxième enfant, mais qu’ils en furent incapables. Est-ce que cela provoqua un sentiment de frustration chez ses parents au point de le rendre malheureux ? En aucun cas, ils se concentrèrent pleinement à l’amour qu’ils portaient à leur fils, sans l’ombre d’un doute. Ce fut assez tôt que Tilden montra ses premiers signes de magie, pour le plus grand plaisir de ses parents.

Et bien évidemment, à l’âge de ses onze ans, le jeune garçon reçu sa lettre pour la grande école de Poudlard. Tilden se souviendra à jamais du premier jour où il a pris le train pour Poudlard. Première fois de sa vie où il était vraiment séparé de ses parents, mais pour l’aventure la plus incroyable de son existence. Le choixpeau décida de l’emmener à Poufsouffle, la même maison que son père avant lui et sa scolarité commença. Cela ne fut pas bien difficile pour le jeune garçon de se faire des amis. Il ne manqua pas de s’attacher à ses camarades de classe, à ses camarades de maison, mais également d’apprécier les autres élèves des autres maisons. Oh, bien évidemment, Tilden n’aime pas forcément tout le monde, mais il ne considère pas qu’il ait d’ennemi.

Mais bien évidemment, il n’y avait pas que les amis à l’école, il y avait également les cours. Tilden n’était clairement pas l’élève le plus doué de sa promotion, souvent un peu trop dissipé en classe. Mais il s’en sort avec honneur dans quelques matières, notamment la botanique, dès que cela le passionne un peu. Et pour ce qui était des passions, le jeune garçon en avait une autre le Quidditch. Dès qu’il fut possible pour lui de postuler, il tenta d’intégrer l’équipe de Quidditch. La première année où il tenta l’essai, il ne fut pas retenu, mais cela ne l’arrêta pas une seule seconde. Il passa une année entière à tenter de s’améliorer et un été entier à s’entrainer d’arrache-pied avec son père. Pour ensuite intégrer l’équipe l’année suivante au poste de gardien et depuis il fait toujours partie de l’équipe.

Ce fut d’ailleurs lors d’un match de Quidditch qu’il se rapprocha un peu plus de Mary McDonald, une joueuse de l’équipe de Gryffondor. Ce fut simple, le jeune homme se prit tout simplement un cognard dans le nez. Ce qui ne fut pas entièrement agréable sur le moment, mais ce qui lui permit quand même de se rapprocher de Mary et ils se mirent ensemble vers la fin de l’année. Après un été avec ses parents, Tilden est plus qu’heureux de pouvoir commencer sa sixième année.

Ce qu’on peut dire au sujet de Tilden, c’est que c’est un larron en foire. Le jeune homme n’aime pas du tout se prendre la tête, il aime profiter de la vie, il aime s’amuser et c’était tout simplement ce qu’il faisait de mieux. À quoi bon se prendre la tête de toute façon ? La vie était bien sombre par moment, alors ça ne servait à rien de se prendre la tête pour rien.

Tilden est donc une personne qui aime bien profiter de la vie, du moment présent. Il n’est pas du genre à se concentrer sur le futur. D’ailleurs, il suit les cours de Poudlard mais pour l’heure il n’a tout simplement aucune idée de ce qu’il pourra bien faire de sa vie. Quand bien même il a quelques facilités pour certain cours, il n’a pas de plan de vie tracée. La seule chose qu’il veut faire, c’est profiter du moment présent et il ne manque pas de le faire.

Il a toujours un mot pour rire donc, on ne peut pas dire qu’il est du genre à s’attirer les foudres des autres, parce qu’il est clairement un bon copain. Il s’entend avec tout le monde, il a un caractère facile. Même si ce n’est pas forcément toujours évident d’apprécier sa joie de vivre, il s’en moque de toute façon. Il veut comme il l’entendant, sans se soucier du regard des autres.