La parole perd parfois ce que le silence a gagné | Sirius & Bertram

**Bertram Aubrey** Messages : 92

La parole perd parfois ce que le silence a gagné

But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

Bertram était concentré sur ce qu’il faisait. Il faut dire aussi, qu’il n’avait pas envie de se louper. C’était déjà très gentil de la part du professeur Chourave de l’avoir autorisé à rester dans les serres de botanique pour pouvoir étudier plus attentivement certaines plantes, il n’avait pas envie de créer du désordre ou de mettre à mal certaines espèces, ou biens que certaines espèces le mettent à mal. Ce qui était un cas de figure totalement possible soit dit en passant.

Bertram aurait pu faire plusieurs autres occupations, mais il avait eu envie de prendre un peu d’avance en botanique. Plus que de l’avance, c’était surtout de l’approfondissement. Il voulait être sûr d’avoir bien tout compris et d’avoir toutes les connaissances nécessaires. Il n’était pas forcément passionné par la botanique. En tout cas, pas plus qu’une autre matière, mais elles lui semblaient toutes importantes. C’est pour cette raison qu’il en avait gardées un maximum après ses BUSES. Parce que cela pouvait servir, qu’il aimait apprendre, et qu’il ne savait pas du tout ce qu’il allait bien pouvoir faire une fois ses études à Poudlard terminées. Bertram n’était pas le genre de garçon à se projeter dans l’avenir, ou alors ce qu’il voyait était un peu utopiste. Mais il vivait le moment présent, et tentait d’en profiter un maximum, mais il plaçait toutes même ses études à un niveau très important de sa vie. Au final, ça l’était autant qu’Emmeline. Enfin non, Emmeline était plus importante que tout.

Mais pour le moment, il était occupé à travailler, et pourrait profiter de la compagnie de sa petite-amie après. Il ne comptait pas rester ici durant des heures et des heures non plus, il avait des choses à faire. D’autres choses à faire. Il était concentré sur sa feuille, il était exactement en train de faire des croquis assez détaillés des différentes plantes qu’ils avaient étudiées au dernier cours. Bertram appréciait avoir des choses précises sur lesquelles travailler. Et en cours, il n’avait pas forcément le temps de prendre autant de temps et de minutie.

Il n’y avait presque pas de bruit dans les serres, juste celui des différentes plantes, alors Bertram ne s’attendait vraiment pas à en entendre. C’est pour cette raison qu’il sursauta violemment et cassa la mine de son crayon à papier sur sa feuille quand il entendit un boucan pas possible dans les serres. Il leva la tête pour chercher la source de ce vacarme, et c’est qu’il aperçut nul autre que Sirius Black. Tout seul, et il n’avait aucune idée de ce qu’il fichait ici, ni même pourquoi il avait fait autant de bruit.

« Black ? Qu’est-ce que tu fabriques ? »

black pumpkin

**Sirius Black** Messages : 286

La parole perd parfois ce que le silence a gagné.

Sirius n’était pas un grand fan de botanique. Oh, il avait encore ce cours après ses BUSE, mais ça c’était parce qu’il avait réussi à avoir une bonne note – en ne glandant pas grand-chose comme d’habitude – et donc qu’il avait décidé de la garder au cas où. Au cas où quoi ? Franchement, le jeune homme ne réfléchissait pas assez à l’avenir pour se poser ce genre de questions. Il n’était donc pas un spécialiste des plantes, ce genre de chose, mais en même temps, ça pouvait quand même être utile. En tout cas, Sirius avait conscience que ça pouvait les aider.

Le jeune homme avait l’intention de faire un gros coup avec James, et les autres maraudeurs s’ils décidaient de suivre (autant dire que Peter avait de forte chance de les suivre, parce qu’il le faisait tout le temps, sans que Sirius ne comprenne que ce n’était pas forcément évident pour lui). Un gros coup contre… le cheveu gras de Severus Rogue. Servilus était un imbécile, mais surtout il avait encore plus merdé dernièrement. Bon, il y avait le truc avec Lily l’année passé où il l’avait traité de sang-de-bourbe. Forcément, ça tenait à cœur à son meilleur ami qui continuait d’être raide dingue de la rouquine, mais en soit ce n’était pas bien grave. Le truc c’était que depuis la rentrée, le vert et argent avait eu une conversation avec Peter, ainsi qu’une autre avec Remus. James avait eu l’occasion déjà de le malmener un peu, mais clairement il était temps de faire un gros coup.

Alors, le rouge et or était en train de rechercher la plante parfaite pour qu’ils puissent arriver à leur fin. Techniquement, Sirius n’avait pas vraiment le droit d’emprunter une plante à la serre de botanique, mais il n’avait pas non plus l’intention de demander l’autorisation et encore moins de se faire attraper. S’il devait se faire attraper, au pire, il irait un peu en retenu, mais au moins il aurait fait une bonne action. Il était en train de fouiller la serre d’ailleurs, ne se montrant pas des plus discret, quand une voix s’éleva dans son dos.

« Ah Aubrey ! » Lança-t-il, en se retournant vers son camarade. « Je cherche un truc. » Se contenta-t-il de répondre naturellement, innocemment. « Et toi ? »

Il y avait peu de chance pour que Bertram Aubrey – un préfet en plus, et pas un préfet genre… Remus qui les laissait tranquille – fasse comme si de rien n’était à sa réponse mais il n’avait pas l’intention de se démonter. Il trouverait bien un excuse pour que le bleu et bronze le laisse tranquille.

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**Bertram Aubrey** Messages : 92

La parole perd parfois ce que le silence a gagné

But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

Bertram n’était pas un grand fan des Maraudeurs. Pas du tout. Oh, il ne les détestait pas, parce que le jeune homme ne détestait personne, mais il ne les portait pas non plus dans son cœur. La raison était simple, ils étaient toujours en train de mettre le foutoir partout, et le coup que lui avait joué Black et Potter ne l’avait pas vraiment fait rire. Ni sur le moment, ni après. Il avait décidé de ne pas leur en vouloir, parce qu’il ne voulait pas se polluer avec des pensées, ou des sentiments négatifs, mais cela restait tout de même méchant. D’accord, Bertram les avait souvent réprimandés, en sa qualité de préfet, mais il fallait bien. Lupin et Pettigrow étaient un peu moins stupides, mais ils faisaient tout de même parti de la bande, alors le jeune homme s’en méfiait, un tout petit peu.

Mais c’était face à Black, qu’il était. Et cela ne l’enchantait pas des masses. Surtout que là, il le dérangeait, puisque le jeune homme était en train de travailler. Pour ce qui était du travail, certes, c’était loupé, mais Bertram ne se contenterait pas de ne rien dire. Black ne ferait pas sa loi, et le bleu et bronze était bien décidé à savoir ce qu’il faisait ici. Il avait totalement endossé son costume de préfet, maintenant. En même temps, il était presque sûr que Black ne se promenait pas ici innocemment. Il avait forcément une idée derrière la tête, et il voulait savoir laquelle.

Rien ne disait que Sirius allait lui parler, et encore moins, lui dire la vérité, mais il se devait tout de même d’essayer. Bertram était peut-être en train de crier au loup un peu trop tôt. Peut-être que pour une fois, Sirius n’avait rien à se reprocher, mais ce serait alors un miracle. Ce garçon, c’était le genre à s’attirer des problèmes absolument tout le temps. Il était bien placé pour le savoir, alors le voir calme et sage… non, ça ne collait vraiment pas avec le visage qu’il montrait chaque jour.

« Ah Aubrey ! Je cherche un truc. Et toi ? »

Le jeune homme plissa les yeux, pas du tout convaincu par son ton. Il voulait vraiment savoir ce que Sirius fichait là, et il n’avait pas du tout intérêt à le prendre pour un imbécile. Il cherchait un truc… ce n’était pas une réponse qui le satisfaisait, et il allait devoir faire mieux que ça, s’il ne voulait pas écoper d’une nouvelle sanction. Quand bien même il y était habitué.

« Je travaillais, avant ton interruption. Et je peux savoir ce que tu cherches au juste ? »

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**Sirius Black** Messages : 286

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Bertram lui affirma qu’il travaillait avant son interruption. Quelque chose disait à Sirius que du coup, le bleu et bronze ne devait pas spécialement être de bonne humeur s’il venait de le déranger dans son travail. Soit, ça n’allait pas changer ce qu’il était en train de faire et ce qu’il avait l’intention de faire. Personne n’allait se mettre sur son chemin alors qu’il avait l’intention de préparer un mauvais coup pour s’en prendre à Servilus. Ce n’était pas sûr et certain qu’il puisse se procurer ce qu’il cherchait présentement si le préfet des Serdaigle était sur son dos, mais dans tous les cas, d’une manière ou d’une autre, il allait arriver à ses fins. Le souci avec ce jeune homme sous ses yeux, c’était que Black savait qu’il n’allait pas fermer les yeux sur ce qu’il était en train de faire comme Remus. Comme quoi c’était vraiment agréable d’avoir un préfet dans la poche.

Aubrey lui demanda ce qu’il cherchait au juste, ce qui tira un sourire à Sirius. Il n’était pas spécialement étonné d’entendre cette question, il se doutait qu’il n’allait pas s’en sortir aussi facilement que ça. Mais soit, le jeune homme n’avait pas l’intention de se démonter.

« Je cherche un truc, comme je viens de te le dire. » Répondit-il avec toute la suffisance d’un jeune Black sûr de lui. « Et rien qui ne te regarde tu sais ça ? » Demanda-t-il, son sourire se faisant plus grand.

Et sur ses mots, sans se préoccuper plus de la présence de Aubrey, le jeune homme commença à chercher dans les plantes qui étaient disponibles ici pour son petit coup contre le Serpentard insupportable aux cheveux gras. Le préfet n’allait sans doute pas spécialement avoir envie de le laisser faire, mais le jeune homme n’en avait que faire, il allait se contenter de chercher ce qu’il était venu chercher et prendre ensuite ses jambes à son cou. Il n’avait aucune envie de se justifier auprès de son camarade de classe, il considérait qu’il n’avait aucun compte à lui rendre. Alors, bien sûr, Bertram Aubrey était préfet, mais ça ne voulait pas dire que Sirius allait l’écouter. Il n’écoutait déjà pas réellement le préfet de sa maison, même quand Remus prenait quand même la peine de leur signifiait que telle idée n’était pas spécialement bien vue, alors il n’allait pas s’amuser à écouter l’un des préfets d’une autre maison, il ne fallait pas déconner. Il n’avait rien contre Aubrey en soit, tant qu’il ne se mettait pas en travers de sa route.

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Bertram ne voyait vraiment pas d’un bon œil l’irruption de Sirius ici. On ne venait pas dans les serres de botanique pour rien, et venant de Black en plus, ça sentait davantage le coup fourré. Mais il ne pouvait pas l’accuser sans preuves. Il se trompait peut-être. Il était possible que Sirius soit là sans mauvaises arrières pensées, mais c’était tout de même difficile à croire. Black et ses amis étaient des experts, quand il était question de mettre le désordre partout. Ils avaient une collection de colles impressionnante, et lui-même avait déjà fait les frais de leur malice. Puisqu’ils n’avaient rien trouver de mieux à faire que de faire enfler sa tête l’an passé. Alors évidemment, quand il les voyait, il était toujours un peu sur ses gardes, juste au cas où.

Rien ne garantissait que Black allait lui répondre, et lui dire la vérité. Il y avait même des chances pour qu’il ne réponde rien du tout, mais Bertram se devait de poser des questions. Même s’il n’allait pas mentir, Black lui faisait un peu peur parce qu’il avait toujours peur qu’il s’en prenne de nouveau à lui, il devait tout de même assurer son rôle de préfet, et il se devait de savoir si Black organisait un mauvais coup.

« Je cherche un truc, comme je viens de te le dire. Et rien qui ne te regarde tu sais ça ? »

Bertram fronça les sourcils, en aucun cas sa réponse lui convenait. Il n’aimait pas son ton, ni son attitude non plus. Ça n’allait tout simplement pas. Il sentait de plus en plus que quelque chose se tramait, et voir Black fouiller ainsi n’était pas rassurant. Cela ne le regardait peut-être pas dans l’absolu, mais si Sirius était en train d’agir dans l’illégalité, si, ça le regardait. Il n’allait pas laisser passer les choses ainsi. Sirius se fichait sûrement de lui, et ne le craignait pas non plus, mais Bertram n’allait pas se laisser démonter pour autant. Il continua de l’observer, essayant de comprendre ce qu’il était en train de faire, mais cela n’avait rien d’évident. Les choses n’allaient pas se passer ainsi, quoique le jeune homme compte faire, Bertram ne le laisserait pas arriver à ses fins. Il décida donc de se lever, et il s’approcha calmement de Sirius, dans une posture qui n’avait rien de menaçante, ou accusatrice pour autant.

« Je ne suis pas sûr que tu sois autorisé à fouiller comme tu le fais Black. »

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**Sirius Black** Messages : 286

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Sirius se doutait bien que Aubrey ne lâcherait pas l’affaire. Il était de ces préfets casse pied à rester sur le dos des personnes, alors qu’on lui signifiait bien qu’il devait juste aller voir ailleurs. Pourtant, c’était un gentil gars, du genre même un peu trop gentil, mais il était un peu trop modèle comme élève et il avait tendance à vouloir que les autres suivent son exemple, ce qui n’était pas près d’arriver pour Sirius. Clairement pas. Bertram s’approcha de lui, et lui affirma d’un ton calme qu’il ne pensait pas qu’il soit autorisé à fouiller comme il le faisait dans les serres. Effectivement, c’était le cas, Sirius n’avait pas le droit de fouiller dans cette serre, il en avait parfaitement conscience et surtout il n’en avait absolument rien à faire.

« Eh bien, tu sais quoi Aubrey ? Je m’en fiche royalement ! » Dit-il avec le ton le plus hautain dont il était capable.

Si une ligne du règlement de l’école devait l’empêcher de faire quelque chose qu’il avait envie de faire, Patmol était du genre à se dire qu’elle n’avait pas lieux d’exister. Il avait beaucoup trop envie de faire cette farce à Servilus pour se retenir juste parce que le règlement ne lui permettait pas de prendre une plante dans la serre. Le jeune homme continua de fouiller d’ailleurs, sans se préoccuper une seule seconde que Bertram soit content ou non de ce qu’il faisait. Jusqu’à ce qu’enfin, il mette la main sur ce qu’il cherchait. Le jeune homme se redressa fièrement.

« Ça y est, j’ai trouvé. Tu vois, je ne vais plus fouiller ! » Dit-il, fièrement en tourant son regard vers Bertram.

Ils allaient pouvoir faire un sacré coup au Serpentard aux cheveux gras, James allait être parfaitement heureux à le voir revenir avec sa trouvaille. À moins que Aubrey se mette de trop sur son chemin ? Oh, Sirius ne s’inquiétait pas spécialement le concernant. Au pire, le préfet allait avoir envie de lui retirer des points de maison, mais honnêtement le jeune homme n’en avait que faire des points de maison. Et s’il le fallait eh bien… Sirius ne manquerait pas de lui faire gonfler encore sa tête, pour se rappeler du bon vieux temps. De toute façon, le rouge et or considérait que rien ni personne ne pouvait se mettre entre lui et son envie de faire un sale coup avec ses camarades.

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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.

Bertram n’avait pas l’intention de lâcher Sirius. Il savait d’expérience, que ce n’était pas le genre d’élève à trop embêter, mais il était hors de question qu’il laisse passer certaines choses, ou qu’il se laisse intimider. Il ne savait pas ce qu’était en train de faire Black, mais ça ne lui disait rien qui vaille. Et à tous les coups, un élève de l’école allait en pâtir. Oui parce que sa spécialité, à Black et à ses petits copains, c’était d’humilier les autres. Charmante occupation n’est-ce pas. Et en plus ils en étaient très fiers, c’était sans doute le pire dans toute l’histoire.

« Eh bien, tu sais quoi Aubrey ? Je m’en fiche royalement ! »

Bertram serra les dents, en colère. Qu’est-ce qu’il pouvait être imbuvable ce type. A se demander si au lieu de fuguer, ses parents n’avaient pas tout simplement décidé de le mettre dehors. Même si au fond, pour avoir aussi eu à faire à Regulus, il savait que le reste de sa famille n’était pas si différent de lui. Oh oui, ils méprisaient les moldus, et les nés-moldus, mais Sirius méprisait tous ceux qui ne lui revenaient pas. Alors où était vraiment la différence ? Bertram ne la voyait pas. Black était imbuvable et faisait ce qui lui chantait, en n’ayant aucun intérêt pour les autres, ou pour les règles.

« Ça y est, j’ai trouvé. Tu vois, je ne vais plus fouiller ! »

Visiblement ses interventions n’avaient aucun effet sur le rouge et or, mais ça ne surprenait absolument pas Bertram. Ceci-dit, ce n’est pas pour autant qu’il allait laisser le jeune homme faire ce qu’il avait envie. Il se devait d’endosser son rôle de préfet, même si cela devait par la suite lui attirer des ennuis. Il était dans son droit, il se devait de reprendre les élèves qui transgressaient les règles. Dans que cela restait dans ses cordes bien sûr, parfois il fallait l’intervention d’un professeur, et si Sirius continuait, cela pourrait bien se produire. Black ne l’écouterait pas, mais tant pis. Il n’aurait rien à se reprocher pour sa part.

« Repose ça tout de suite Black, et ce n’est pas une question. »

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